NUITS DE LENAÏG
Pour « Les nuits de Lenaïg » :
Quand la Petite musique de nuit s’arrêta, la Reine de la nuit chanta l’Hymne à la nuit. Dans la Notte italienne, Gaspard de la nuit, évadé de Nuit et brouillard, lui répondit sur son violon. Le firmament vit alors la Nuit transfigurée. Elle était silence et bruissements.
(Avec l’aimable apparition, dans l’ordre, de Mozart, Rameau, Vivaldi, Ravel, Jean Ferrat, Arnold Schoenberg)